Evolution du comportement alimentaire.
Evolution du comportement alimentaire
Le comportement alimentaire humain suit l’évolution de notre espèce.
Dicté par la nécessité, plus que par l’envie, le comportement s’est donc adapté aux conditions
de notre environnement.
Ce comportement est retrouvé dans l’ensemble des cultures et des époques.
dicté par la collectivité, il constitue une base sur laquelle peut se greffer des différences
comportementales individuelles relativement marginales et souvent vécues comme une
différence suffisamment forte pour exclure, au moins psychologiquement l’individu de son
groupe (le racisme anti-gros relève de ce comportement).
Le comportement alimentaire d’un sujet, à plus forte raison s’il est sportif, et donc
soumis à d’importantes pressions exogènes.
Il a pour moteur une dynamique psychologique basée sur son vécu et sa personnalité conçue
par ses diverses tendances comportementales.
Il est certain que le choix d’une activité sportive et la façon dont le sujet gère cette activité
sont le résultat d’une dynamique motivationnelle qui jouera un rôle essentiel dans la façon de
s’alimenter.
La première est purement métabolique en relation avec la modification des
concentrations hormonales lors de la pratique d’un exercice (catécholamines, glucagon, bêta
endorphines).
La seconde est en relation avec les processus intuitifs. Le comportement intuitif du
sportif se manifeste de manière caricaturale dans les salles de musculation (pour faire du
muscle il faut manger du muscle), chez les marathoniens végétariens (pour courir vite il faut
s’alimenter comme les herbivores) ou encore chez les sujets qui désirent perdre du poids en
pratiquant une activité physique (suppression totale des matières grasses).
Le troisième type de comportement est le résultat entre les processus culturels,
cognitifs et intuitifs.
Ces trois affects agissent comme inhibiteurs ou activateurs du comportement .
Le comportement des athlètes de tout niveau se trouve, pour ces raisons, d’une grande
complexité. L’intrication de l’inné, du vécu et du conçu, donne au sportif sur un plan général,
et plus encore au plan de l’alimentation, une originalité totale, impossible à prendre en compte
de façon globale.
L’expérience montre qu’au-delà de ces données, le sportif adapte son comportement à sa
personnalité, c’est à dire à son profil psychologique. Vouloir conseiller un sportif sans tenir
compte de ses motivations s’avère totalement improductif et peut être même dangereux pour
la santé de l’athlète.
Sport et santé
De la prévention des blessures à la construction , l'enrichissement et l'entretien du répertoire moteur d'un individu tout au long de la vie. La problématique de l'équilibre transcende l'identité des spécialités sportives.
Voici des videos qui présentent des exercices qui seront un support qui vous permettra à tous de ne pas se blesser en pratiquant une activité.
L’hydratation
Nécessité d’un apport hydrique régulier pendant l’effort pour prévenir la déshydratation ;
quand le sportif a soif c’est qu’il est déjà trop tard, il est déjà déshydraté.
Boire régulièrement pendant l’effort,
avant
d’avoir soif, et ce dès le début de l’éventuel
échauffement.
Bien sûr il faut tenir compte des conditions climatiques ; même si le cycliste s’est bien
hydraté pendant l’effort, les apports ne compenseront jamais les pertes, il faudra réhydrater
après.
A noter que pendant l’effort un cycliste déshydraté est moins vigilant, il augmente sa
fréquence cardiaque, son geste technique est perturbé, sa température corporelle augmente, sa
vision sur les côtés diminue (danger lors d’un sprint si ça « frotte ») Les conséquences de la
déshydratation sont donc catastrophiques ; et bien sûr des conséquences musculaires et
tendineuses.